Dimanche 31 :
Et déjà, le dernier jour... Le matin,
Justine s'en va. Nalex, Matthieu et moi l'accompagnons à la gare et
les adieux sont déchirants, une fois de plus. Binômeuuuuuuuh !
Je suis inconsolable sur le chemin du retour, et seul un maxi pain au
chocolat offert par Matthieu me fait enfin arrêter de
pleurer...
Nous rentrons à la maison, parce qu'il ne reste plus qu'une heure avant le déjeuner avec Robin Hobb. Là, nous disons un au revoir express au colocataire-confrère arpenteur Romain qui s'enfuit avec Magali lorsque les larmes reviennent, et c'est un peu dans un état second que je rentre dans la voiture pour aller vers le resto.
Nous rentrons à la maison, parce qu'il ne reste plus qu'une heure avant le déjeuner avec Robin Hobb. Là, nous disons un au revoir express au colocataire-confrère arpenteur Romain qui s'enfuit avec Magali lorsque les larmes reviennent, et c'est un peu dans un état second que je rentre dans la voiture pour aller vers le resto.
Nous arrivons vingt bonnes minutes à
l'avance, et nous attendons dehors. Ellen, toujours aussi belle et bien parée, arrive aussi et nous
patientons ensemble, jusqu'à ce que Robin Hobb arrive à son tour,
accompagnée du très sympathique Jean-Luc Rivera. Alors qu'il entre pour prévenir de
notre arrivée, nous papotons avec Robin. Je lui demande si Kat va se
joindre à nous, et elle m'informe qu'elle a donné une journée off
à sa fille afin qu'elle souffle un peu et visite la ville. J'en
profite pour placer que j'en suis désolée, et je renonce à ma
première idée de conversation : les post-it. Dommage !
Le monsieur ressort et nous annonce que
tout le monde est déjà là et n'attend que Robin Hobb. Nous entrons
et là... J'avoue être un peu surprise et vaguement déçue. Lorsque
je m'installe, je suis assez loin de Robin et j'ai beaucoup de mal à
l'entendre. Nous sommes 20, la table est en long, Robin a une petite
voix et nous sommes dans un resto bondé où le brouhaha est
incessant.
L'adorable Jean-Luc propose dès le
début que nous changions de place quelques fois au cours du repas.
Joie ! Et le déjeuner commença. Je dois avouer que je ne me
souviens plus de ce que j'ai mangé, si cela vous intéressait. Ce
dont je me souviens, en revanche, ce sont des larmes de Hélène Ptitelfe, en écho aux miennes. Nous étions toutes les deux
extrêmement émues et j'avoue que j'ai été rassurée et touchée
par sa présence ! Je la remercie d'ailleurs pour son superbe vlog où l'on peut me voir rire et faire des blagues nulles à Robin
♥
Au début du repas, les quelques
questions qui sont posées par les filles de gauche sont assez
impersonnelles et concernent beaucoup les futurs romans de Robin Hobb, et
je ne suis pas trop déçue de ne pas entendre : elle a déjà
donné les réponses à ces questions aux conférences où je suis
allée, ouf ! Je suis en revanche à moitié couchée sur mon
adorable voisine de table lorsque Irène pose ses questions, et nous
apprenons par exemple que Robin Hobb se bat pour qu'il n'y ait pas
que de la fantasy américaine en rayon aux USA : cool !
Vient enfin le moment où Robin change
de place et là, c'est la folie : elle est juste à côté de
moi. Non seulement je l'entends très bien, mais je peux même lui
parler ! LUI PARLER ! Là, la conversation devient tout de
suite plus cool et moins formelle : Ellen lui demande des
conseils pour un premier roman et Robin lui répond humblement :
« Écris tous les jours. Termine toujours ce que tu as
commencé. Ne jette jamais rien. Et envoie le travail fini aux
éditeurs. » Elle nous raconte aussi qu'elle a envoyé son
premier manuscrit à 18 ans, mais n'a été publiée qu'à 30. ça
fait réfléchir, c'est sûr !
La joie à l'état pur. Et la crispation, un peu. |
À un moment, ma très gentille voisine
du début offre des chocolats à Robin, qui s'extasie et nous raconte
qu'elle a reçu plein de choses adorables. Mais pour moi, c'est la
douche froide. Mes cadeaux sont restés dans ma chambre !
Matthieu se charge de téléphoner à nos hôtes, histoire de voir
s'ils peuvent nous les déposer dans la journée. J'essaye de me
reprendre, mais je suis à deux doigts de pleurer devant ma
stupidité... Bref ! Je finis par décider de ne pas me gâcher
ce merveilleux moment, et je profite d'avoir mon auteur favorite à
côté de moi. Nous plaisantons, parlons de tout et de rien et elle
finit par nous montrer des photos de ses poules et de ses chatons. Ce
fut un moment magique et exceptionnel que je n'oublierai jamais et
qui me donne encore les larmes aux yeux. Pfiou !
Le moment est si agréable que nous
partons en retard. Jean-Luc Rivera nous demande avant de partir
de parler autour de nous du fait que les déjeuners devraient être
fait en privé, pas dans des restos bondés, et je dois admettre que
sur les vingts personnes présentes, la moitié n'a dû pratiquement
rien entendre... Je fais un bout de chemin avec Robin Hobb, lui
disant que j'ai oublié les cadeaux mais que je les lui apporterai
cet après-midi. Elle me répond « Ce n'est donc pas la dernière
fois que je te vois ! Tant mieux ! »
#tropdegentillesse
Nous rentrons juste à temps pour dire
au revoir à Alexis, qui nous quitte. Je pleure encore beaucoup, même
s'il plaisante jusqu'au bout, le bougre ! Avant de partir, il me
fait un beau cadeau : il me laisse le kakemono de sa saga, qui
trône fièrement dans mon salon (jusqu'à ce que Matthieu craque.
Mais pour le moment, il reste!) et nous lui faisons des signes
d'adieu alors que la voiture de Nalex s'éloigne avec lui (après
m'avoir laissé mes cadeaux pour Robin) et je me dis que je vais
enfin pouvoir respirer... AH BAH NON. Pascal, Pascalou, l'arpenteur
numéro un dans nos cœurs, l'adorable Pascal s'en va lui aussi. Là
aussi je m'effondre et je ne suis pas la seule ! Big up Pascal ♥
Le retour au salon se fait tristement,
mais je tombe bien vite sur Adrien Tomas. C'est qu'il me reste trois
auteurs à voir, en fait ! Nous plaisantons sur sa pancarte
modifiée et enrichie en H et il nous avoue que c'est là l’œuvre
de Marika Gallman, avec qui il se dispute sur l'orthographe de
certains noms. Je lui donne bien sûr raison, histoire de lui faire
plaisir alors que je lui tends gentiment mon exemplaire de Notre-Dame
des Loups. Céline (ma copine de Marseille) me rappelle alors devant
le monsieur que nous l'avons lu ensemble à voix haute en alternant
les chapitres jusqu'à fort tard dans la nuit, c'est dire si le roman
est prenant... Et je rappelle aussi à Adrien Tomas sa vilaine
blague à Nabil Ouali, quand il a tiré sa chaise et que le pauvre a
crié telle une demoiselle en détresse. Pas cool. Mais franchement
rigolo.
Nous repartons vers une conférence,
après avoir fait un crochet par le stand de Céline Landressie et de
Patrick Mc Spare. L'erreur. Je serais arrivée à toutes mes
conférences en retard à cause de lui ! Bref, la conférence
Les Dragons... Mythiques et fabuleux ? Aurait pu être un franc
succès grâce à Robin Hobb, Xavier Mauméjean et Pierre Pevel, mais
elle a été un tout petit peu gâchée par la quatrième
intervenante (dont j'ai oublié le nom) qui partait toujours très
loin, voire même un peu trop loin, et surtout pendant très
longtemps et très fort. Mauvaise élève, je commence à envoyer des
sms à Supy et Flora, qui m'avouent être à la même conférence, au
premier rang, et qui me disent souffrir elles aussi. J'ai bien
gloussé et j'ai fini par perdre le fil mais tant pis : l'idée,
c'est de choper Robin Hobb à la sortie.
Quand la conférence finit, je me
précipite sur l'estrade (une gueu-din, la fille) et je commence à
dire à qui de droit que j'ai des cadeaux à offrir et que Mme Hobb
est au courant (ça pesait la classe, je vous jure) et une dame me
répond alors que non, pas tout de suite, c'pas possible, là on doit
urgemment faire les photos presse. Or Robin Hobb écoute
attentivement son traducteur qui lui rapporte toute la conversation
et elle me propose alors de venir avec eux et ELLE ME PREND PAR LE
BRAS ET NOUS PARTONS. Bras dessus, bras dessous, tralalala, tout ça.
J'ai apparemment gémi d'après les personnes alentours, mais je
crois plutôt que j'ai totalement assumé mon swag (je mens)
Personne ne boucle le bolduc comme moi, Robin en est toute émue. |
Nous assistons donc à la séance photo
la plus étrange de l'univers (en fond, des bonhommes de cellophane
semblant se reproduire avec des arbres, en premier plan, des
escrimeurs en position « accroupie mais je tends mon épée
vers toi » … aaaah, l'art de la photo) et je vais finalement
offrir mes cadeaux à Robin. Pour les curieux, je lui ai offert des
navettes au chocolat et des olives au chocolat (le pouvoir du
chocolaaaaaat!) et un petit carnet avec un dessin du Fou, un de ses
personnages. Sur une idée originale de Sae ♥ merci encore,
d'ailleurs !
The Fool, pour Robin Hobb. J'ai rajouté un petit mot par la suite. |
Elle m'a remerciée et a semblé très
touchée, alors qu'elle doit recevoir à peu près 200 cadeaux à la
minute. Et elle m'a proposé de venir au pot de fermeture des
Imaginales, le soir-même, mais je n'ai pas pu y aller. Ainsi donc,
ce fut la dernière fois que je vis Robin Hobb et cela reste toujours
totalement irréel à mes yeux. C'est une dame très humble, patiente
et profondément gentille. Et je me trouve vraiment très chanceuse
d'avoir pu partager tant de moments avec elle.
À peine rentrée, je dis à Matthieu
« je DOIS voir Erik L'Homme. » lequel n'était JAMAIS
là, chaque fois que je passais devant son stand et … Cette fois,
c'est la bonne, il est enfin disponible ! Joie ! Je n'ai lu
que de lui sa saga A comme Association, en collaboration avec Pierre
Bottero, et je tente de le lui expliquer. Sauf qu'à l'évocation de
Bottero, les mots se coincent dans ma gorge et je me mets à presque-pleurer. Je m'excuse en bafouillant de remuer le couteau dans la
plaie et Erik L'Homme me répond adorablement, parvient même à me
faire rire. Je lui dis alors que j'aurais voulu lui prendre la
trilogie des Étoiles, en rupture de stock, et il me répond que je
devrais commencer avec Phaenomen, qui était la saga que Pierre
préférait. Mais elle est aussi en rupture, malheureusement pour
moi ! Je le quitte encore toute chamboulée, et je vais voir le
dernier auteur que j'ai prévue de voir : Stefan Platteau.
Je suis toute gênée de ne pas avoir
lu son roman, d'autant qu'il me fait très envie. Je lui révèle
aussi que si je ne l'avais pas déjà, je l'aurais pris après
l'avoir entendu en conférence. Nous papotons et je suis à nouveau
charmée par cet auteur, qui est ravi de discuter avec moi malgré le
fait que je n'ai même pas lu son livre. Vraiment adorable ! Et
me voilà repartie avec le dernier roman de ma valise dédicacé et
la sensation d'en avoir enfin fini.
Mais la journée n'est pas terminée !
Je ne sais plus du tout à quelles heures sont parties les copines,
mais j'ai dit au revoir à Supy, Flora, Christel, Ellen et les autres
et à chaque fois je n'étais pas du tout bien, niveau lacrymal. Note
pour l'année prochaine : plus de mouchoirs. Mais je retiens le
moment où Flora nous a snobé grave en lançant un « désolée,
j'ai rencard ! » avant de se casser boire un verre avec
Matthieu Rivero, tranquille-Émile. Bon, on ne lui en veut pas,
surtout qu'il paraît qu'elle s'est copieusement ridiculisée mais jela laisse vous le raconter mieux que moi ici. Je retiens aussi la
rencontre tardive avec Johanne, de Livresse des Mots. Raaaah, je
regrette qu'on ne se soit croisée qu'à la toute fin, mais nous
passons quand même un agréable moment relâche avec
Céline-ma-copine et les autres (alors que Matthieu et Flore sont en
vadrouille je-ne-sais-plus-où) et la journée aurait pu doucement se
terminer ainsi. Oui mais non, parce que je veux faire un dernier
coucou à mes chouchous : Patrick Mc Spare et Fabien Cerutti
(encore et toujours!) et ce fut l'erreur qui me
perdit.
Rappelez-vous de la « brochette des tentateurs » et rappelez-vous que je m'étais promis de ne pas craquer pour chacun d'entre eux... Et là zblam, le destin dans ma tronche. Je le confie à Fabien Cerutti, lequel se met à crier « AH BON ? TU N'AS PAS ACHETÉ L'EXCELLENT ROMAN DE NABIL OUALI ? » et Nabil Ouali de rappliquer aussitôt. Là, le bougre me met le roman dans les mains et me dit « Prends-le ! » avec un grand sourire. Ce à quoi je réponds « Ben, heu, non ! » et là, le fourbe de me répondre « Mais si ! » et là... Rien, je suis repartie avec le livre. Devant ses arguments imparables, je n'ai pu résister. Voilà. JE SUIS FAIBLE. C'est la faute de Fabien. Bon j'ai dû revenir parce que mon livre était imprimé n'importe comment mais Nabil et les libraires ont été trop cool et j'ai eu de la chance, parce qu'il allait partir. Mais il a pu me re-dédicacer un bouquin tout neuf, ouf !
Rappelez-vous de la « brochette des tentateurs » et rappelez-vous que je m'étais promis de ne pas craquer pour chacun d'entre eux... Et là zblam, le destin dans ma tronche. Je le confie à Fabien Cerutti, lequel se met à crier « AH BON ? TU N'AS PAS ACHETÉ L'EXCELLENT ROMAN DE NABIL OUALI ? » et Nabil Ouali de rappliquer aussitôt. Là, le bougre me met le roman dans les mains et me dit « Prends-le ! » avec un grand sourire. Ce à quoi je réponds « Ben, heu, non ! » et là, le fourbe de me répondre « Mais si ! » et là... Rien, je suis repartie avec le livre. Devant ses arguments imparables, je n'ai pu résister. Voilà. JE SUIS FAIBLE. C'est la faute de Fabien. Bon j'ai dû revenir parce que mon livre était imprimé n'importe comment mais Nabil et les libraires ont été trop cool et j'ai eu de la chance, parce qu'il allait partir. Mais il a pu me re-dédicacer un bouquin tout neuf, ouf !
Crédit : Nabil Ouali, pour l'escroc de Kosigan, comme on dit. |
Enfin, il ne resta plus que les
marseillais, Johanne et Irène et ses deux hommes, tranquilles au
coin buvette à attendre patiemment Céline Landressie en observant
la fresque se terminer. Et il faut dire qu'elle est fort belle !
Je l'aurais volontiers piquée, si cela avait été humainement
possible. En tout cas, Irène et Johanne sont a-do-ra-bles et je
passe un super dernier moment dans le salon. Nous sommes crevés et
nous repartons finalement assez vite, nous ne restons pas au pot de
fermeture. Mais je ne le regrette pas du tout, parce que la soirée
s'annonce tout aussi palpitante !
En effet, chez Mag et Nalex avec Céline
x2, Flore et Matthieu, nous avons fait la fiesta jusqu'au bout de la
nuit, à jouer à un jeu démoniaque aux règles subtiles : Esquissé. En gros,
il faut dessiner un mot, passer son dessin à son voisin qui doit
deviner ce qu'il représente, l'écrire puis le passer à son tour à son voisin
pour que celui-ci dessine le mot deviné (qui peut n'avoir rien à
voir avec le mot de départ, si le dessinateur est peu talentueux, ou
l’interprète un peu nul.) Ainsi, j'ai cru voir un camp de
concentration lorsque Céline a voulu dessiner une sortie de secours,
par exemple. Voilà, voilà. Puis nous allons au dodo pour la dernière nuit dans le grand nord.
Finalement, nous sommes repartis le...
Lundi 1er Juin
… après des adieux déchirants,
encore une fois. Probablement les pires. Je vous aime, vous trois ♥
***
ET CE SERA TOUT ! Je vous passe le
retour en voiture, le mcdo en partant où l'on a recroisé Mag, Nalex
et Céline qui ont eu la même idée de repas de midi haha, destin,
tout ça, et je vous encourage à aller voir mon butin des Imaginales ici, si cela vous intéresse.
Merci à tous les gens que j'ai croisé et qui ont participé à rendre ce séjour parfait.
Merci à tous les gens que j'ai croisé et qui ont participé à rendre ce séjour parfait.
Merci aux copines blogueuses, aux arpenteurs, aux auteurs,
à tous les gens qui bossent dans l'ombre sur le salon,
à Matthieu, Céline et Flore,
Et surtout à Mag et Nalex ♥
ON SE VOIT EN 2016 LES GARS !
#tropdelove: compte rendu, the last bu not least, super émouvant!
RépondreSupprimerMerci <3 <3 Je suis contente qu'il plaise :D #tropdeloooove
SupprimerQu'est-ce que c'était bien! Lire ton compte-rendu, c'est comme si j'y étais à nouveau!! Vivement l'année prochaine :)
RépondreSupprimerPS: Trop de chance d'avoir pu déjeuner avec Robin Hobb!!!!
Ouiiii, en espérant qu'on puisse se voir plus longtemps l'an prochain :D En fait, en 4 jours, on a le temps de rien o.o
SupprimerEt oui, je suis super chanceuse, j'en reviens toujours pas !
Quel bonheur de lire ton compte-rendu... j'ai l'impression que c'était hier!! Et merci pour les compliments dis... chuis rouge comme une tomate maintenant ;)
RépondreSupprimerBisous <3
Oh, je suis vraiment contente qu'ils plaisent, merci à toi d'avoir pris le temps de les lire :D
SupprimerMoi aussi, une partie de moi est restée là bas ^^
Et rougis pas va <3
C'est normal dis! J'ai la flemme d'écrire le mien, j'avoue... puis j'ai l'impression d'avoir été complètement ailleurs tout le week-end donc pas sûre d'être très cohérente au final ^^
SupprimerEt euh... je rougis pas si tu ne pleures pas :P <3
J'ai eu la flemme à chaque journée mais une fois que j'étais lancée, je ne pouvais plus m'arrêter et j'ai pondu 4 tartines o.o je serais super curieuse de lire le tien, cohérent ou pas :D
SupprimerHummmmm... Bon okay oublie :p
Bon, je vais essayer de trouver un moment pour faire ça alors :) Et le montage des quelques clips vidéos aussi... Suis vraiment à la ramasse sur tout en ce moment ^^
SupprimerHihihihi, me disais aussi :)
Bonne idée de proposer de changer de place au cours du déjeuner, cela permet de palier les difficultés du cadre. Ah c'est sûr, tu ne pouvais être que touchée par une telle femme :)
RépondreSupprimerFranchement, c'était un plaisir de lire tes billets et cela donne envie non seulement d'aller aux Imaginales mais surtout de te rencontrer ;)
Oui, c'était une super idée, sans quoi je n'aurais rien entendu et j'aurais été vraiment frustrée du déjeuner. Là, j'ai pu passer un moment parfait ! :D
SupprimerMerci beaucoup, beaucoup ! Il faut vraiment tenter les Imaginales, si c'est possible, c'est vraiment un salon exceptionnel !
Quel sublime conclusion :) je suis ému de lire le résumé de ton repas avec la grande dame, je me suis imaginé a ta place avec ma propre auteur préféré et je pense que j'aurai défaillie ;)
RépondreSupprimerOui les émotions sont très vive dans la petite bulle des Immaginales ! Même pour moi pourtant si pudique !! Bises a tous mes amis du grand sud
Haha peut-être qu'un jour Kristen viendra aux Imaginales ! Faudrait le lui proposer ^^ Ce serait super !
SupprimerOn était tous à fleur de peau, dans notre petite bulle de #tropdelove :D <3
Ce serai vraiment un rêve oui, mais Kristen n'est pas une grande voyageuse malheureusement, se sera donc moi qui irai à elle ;) si les conditions sont réunis :-O
SupprimerOui *tropdelove* :D
Bordeleuuuuh, tu m'as presque fait pleurer vilainette (comment ça, c'est plus presque si tu as la goutte au nez et les yeux aussi rouge que si tu t'y étais collé de l'acide ?!).
RépondreSupprimerEn tout cas, merci merci merci pour avoir partagé toutes ces émotions avec nous, FIOU. Tu racontes tout ça tellement bien <3
En 2016, crotte de crotte, on s'y verra !! <3
Oh mon Bouchoooon <3 Je m'en veux de t'avoir faite pleurer !
SupprimerMerci, je me suis demandée si je n'en faisais pas trop mais si ça t'a plu, même rien qu'à toi, je suis ravie ! :D
2016 BOUCHON, 2016 ! <3
Whaou quelle journée de fous! C'est génial que tu aies pu accompagner Robin Hobb à sa séance de photos! C'est incroyable même ! TOn article retransmet bcp d'émotions je suis ravie de t'avoir rencontrée dans ce contexte d'ailleurs :) Pour Erik l'Homme je plussoie, les seules fois où je l'ai vu, c'était en ville quand il est arrivé vendredi, ou bien vendredi soir en sortant du restau ! Du coup je n'ai pas pu lui parler comme j'aime le faire en général (cet auteur est super touchant je trouve, et d'une gentillesse!!) je te conseille les 2 sagas dont tu parles d'ailleurs, elles sont toutes les 2 super bien ! Bisous
RépondreSupprimerMais de rien pour l'idée <3 Je suis même contente d'avoir pu t'en donner une comme ça et que ça lui ait plu :)
RépondreSupprimerBravo pour tes articles de résumé en tout cas, j'ai tout lu et j'ai kiffé. L'année prochaine je serai là OUAIS OUAIS.
En grosse fan de Robin Hobb, je ne peux que te dire... superbe dessin du Fou ! C'est trop la classe !
RépondreSupprimerHuit ans après ma lecture, je n'ai toujours pas trouvé de personnage qui me plaise autant...